Histoire sans fin

...où une grande fête les attendait. Le chef du village s'approcha d'eux et les salua, en leur adressant ces mots chargés d'émotion:
-Messires, vous nous avez sauvés, vous avez sauvé nos âmes. Vous allez être récompensés comme il se doit, joigniez-vous à ce festin en votre honneur!
Le banquet se prolongea jusque tard dans la nuit (21h35 pour être exact). Le lendemain, le chef était devant leur chambre de l'auberge.
-Nous avons décidé de vous offrir ce présent, et il leur tendit une petite fiole. Il s'agit de la fiole de la vie, offerte par Gulvain, époux de Guenave, petite fille de Ferpelion, cousin de...euh...de...enfin on ne sait plus très bien (mais on pense qu'il est apparenté à quelqu'un de vachement important!). Cete fiole permet de rendre la vie à n'importe qui!
Le chevalier saisit la fiole et dit:
-C'est trop d'honneur, nous ne po...
-D'accord, vous pouvez me la rend...
Le chevalier lui écrasa le pied. Il deversa la fiole à terre et invoqua...Gualia, le gobelin qui avait briser son coeur. Elle apparut devant lui, plus belle que jamais, les yeux embués de larmes.
-Oh mon chéri, comme je regrette, je...
Il lui coupa la parole.
-Je me suis emporté, je n'aurais pas du faire ça, je n'avais pas l'esprit clair, j'aurais du réagir différemment, j'aurais du...me servir de mes pieds!
Et il écrasa la pauvre créature de coups de semelles puis se jeta de toutes ses forces dessus à de multiples reprises avant de lui envoyer un bon coup de pied dans le ventre, toujours avec un sourire diabolique. Une fois terminé, il se redressa et se remit en route en sifflotant. Rutin se demanda alors comment ce débarasser de ce malade mental. Peut-être y arriverait-iul durant la traversée du lac pour atteindre l'autre rive, et la forêt hantée de Reihar! Ils prient une barque et...


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chargèrent leurs équipements neufs à bord (autre cadeau de remerciement de la part des villageois).
Ils étaient seuls au bord du lac, prets à s'installer dans la barque pour traverser le lac couvert d'une fine couche de brume.
Mais Rutin avait à peine mis son 1er pied dans la barque qu'une voix douce et cristalline se fit attendre :"Bonjour Je m'appelle Lutinia, je vous ai vu vous battre hier et j'ai trouvé votre courage exemplaire. Surtout le tien Rutin quelle bravoureet puis ton petit bouc me fait trop craquer, je pense que je suis amoureuse de toi. Bon je ne suis peut-être qu'en 3eme année secondaire de l'école lutine, mais je tiens absolument à vous accompagner.

Suite à cette déclaration, Rutin ...

...rougit de la tête au pied (ce qui ne représente pas une grande distance) et il accepta malgré les protestations du chevalier. A bord, ils dégustèrent quelques victuailles et burent à l'eau cristalline puisée du puit du village. Arrivé de l'autre côté, ils empruntèrent le sentier qui traverse la forêt de Reihar. Lutinia, visiblement angoissée, leur dit:
-Oh mon dieu, vous voulez traversé la forêt? Mais c'est dangereux, il y a des monstres qui rôdent dedans et même...des lycanthrope!
-Voyons, mademoiselle, il n'y a pas de quoi avoir peur, lui répondit Rutin, étalant le formidable courage qu'il possédait quand tout à coup, un hurlement provenant des fonds des âges retentit dans leurs oreilles. Rutin, blême, arrêta son pas, puis amorça une marche arrière. Le chevalier le retenut et ils continuèrent leur chemin, alors que la nuit commençait à tomber...

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Et que la lune se montrait pleine,notre groupe à nouveau constitué de trois personnes décida de s'enfoncer un peu dans la foret puis après quelques centaines de mètres, ils passèrent devant ce qui semblait être une grotte. La décision de passer la nuit dans la grotte fut vite prise vu que Rutin refusait d'aller plus loin.
Le chevalier passa en 1er avec une torche offerte par les villageois, une nuée de chauves-souris sortit de la grotte. Une fois, celles-ci passées, on ne voyait plus Rutin, ah si il s'était caché derrière Lutinia.
Enfin soit le groupe s'enfonca dans le fond de la grotte et y installa leurs sacs de couchage également offerts par les villageois.
C'est alors que Lutinia demanda si elle pouvait ...

...prendre l'air mais le chevalier refusa, trop risqué à son goût. La nuit tomba vite et Morphée vint vite à leur rencontre malgré la nervosité qui régnait en pareil endroit. Les bruits de la forêt résonnaient dans la caverne mais, épuisé après toutes ces journées harassantes, ils s'endormirent. Seul le chevalier restait éveillé. Le temps se couvrait dehors. Sans nul doute un orage allait éclater, deversant toute la fureur des dieux. Ses paupières étaient de plomb mais il résistait quand, soudain, un hurlement qui ne pouvait provenir de bien loin le fit sursauter. Il sortit son épée. Des bruits de pas s'apporchaient. Un coup de tonerre éclata, ne rendant l'atmosphère que plus oppressante. Une odeur fétide vint à ses narines. Une ombre apparut dans l'entrée de la grotte puis disparut. Il réveilla les deux lutins.
-Nous ne sommes pas seu...
Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase q'une masse noire, couverte de poil hérissé se jeta sur lui et le renversa. La bête mi-homme, mi-loup, avait sa machoire grande ouverte, de la bave en sortant d'une manière répugnante. Il s'avançait vers les deux petits être.
-Ô Seigneur, protégez-moi, courageux seig...hé!
Rutin avait disparu. Il courait à présent dans la forêt malgré la pluie battante, tentant de fuir le monstre. Il arriva dans une clairière et il discerna au loin un chateau. Ses fenêtres étaient...

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entre-ouvertes et se jetta à l'interieur et se cacha derrire une grande armoire. Le loup-garous ne tarda pas à le rejoindre et, grâceà son flair aiguisé, le retrouva en u rien de temps. Surpris de cette rapidité, Rutin...

...resta stupéfié. Il en serait mort-ou bien pire-si la créature ne s'était pas arrêté devant la fenêtre, comme arrêté par une force invisible. Acculé, il repartit dans la forêt en hurlant. Que lui était-il arrivé? C'était comme, s'il avait craint cet endroit...Rutin resta là un instant, reprennant son souffle quand il entendit des bruits de pas derrière lui. Il se retourna et tomba nez à nez avec un homme, âgé, au crâne dégarni, un chandelier à la main. Il souriait.
-Messire Rutin, nous avions bien peur que vous ne fassiez escale dans notre humble demeure.
-Nous nous connaissons.
-Mon maître, le comte Vrkolak, vous connait et était impatient de vous parler. Mais, vous me semblez affamé, peut-être désiriez-vous vous restaurer?
Rutin était aux anges, sans se douter qu'en fait, il était dans la tannière du fils du Diable.
Le domestique le conduisit jusqu'à une gigantesque salle à manger où se dressait une table soutenant des dizaines de plats appétissants.
-Votre maître est bien aimable, mais mes am...et puis non, on s'en fout! Quand pourrais-je rencontrer le comte.
-Mais tout de suite.
Un homme descendait l'auguste escalier qui, pareil à un serpent, s'entortillait jusqu'à l'étage. Sans doute d'une quarantaine d'année, le comte avait les traits doux, un peu effeminés même mais il générait une sensation étrange de bien-être. Son regard était captivant, bien-vaillant. Un frisson d'effroi parcourut l'echine de Rutin. Le comte souriait, et ce sourire était aussi aimable que ses yeux. Rutin détourna sa tête. Il était mal à l'aise.
-Messire Rutin! Quel bonheur de vous voir enfin. Mais installez-vous je vous en prie et reposez-vous. Vous devez être épuisé après avoir été poursuivi par les créatures qui hantent ces bois. Heureusement nous sommes à l'abris ici, vous êtes à l'abris.
Ses paroles étaient toujours accompagnés d'un large sourire reconfortant.
Le compte désigna le buffet et le pria de se servir. Rutin s'assit et commença à manger les délices qui s'offraient à ses sens gustatifs.
-Vous ne mangez pas, lui demanda Rutin.
-Non, je n'ai pas encore faim, pour l'instant, mais il est vrai que l'appétit vient en mangeant.
En parcourant la salle du regard, Rutin remarqua quelque chose quand il observa le miroir, mais ni fit pas attentione t se replongea dans la degustation des mets. L'orage se déchainait à l'extérieur. Une fois rassassié, ils allèrent au salon. Le majordôme était parti. Il ne restait plus qu'eux deux.
-Alors ainsi, vous recherchez Pierrus, le grand seigneur du royaume perdu? Qui vous guide.
Rutin rit et dit:
-Dieu et un cheva...
Ses paroles avaient provoqués un gemisement de la part du comte, comme brûlé par les mots. Constatant cela, Rutin...

Illius

mangea des spaghettis et comme par magie....

Des spaghettis?
"Une fois rassassié, ils allèrent au salon.", il y a un petit problème là...
(Et puis pk des spaghettis? lol)

Illius

Bon on ignore les spaghettis car ca n'a rien a voir.

Constatant celui, Rutin se rapprocha du comte, l'inspectait lui prit son pouls, etc...
Le taint du propriétaire du manoir était toujours aussi pale, Rutin pensa qu'il avait de la fièvre.
Il posa sa main sur le front du malade, celui-ci réouvrit ses yeux et il vit alors le cou du Rutin.

C'est alors que le comte ...

...se jeta sur lui. Rutin l'esquiva.
Le comte chancela puis se rassit, en sueur.
- Je suis désolé, un malaise, un bref moment d'égarement, la solitude de la forêt vous transforme vous savez?
-Et vous n'avez pas mangé, comte.
-A qui le dîtes-vous...j'espère ne pas vous avoir effrayé. J'en suis désolé. Bon, je vais vous montrer votre chambre.Si vous voulez vous donner la peine de me suivre.
Le comte l'emmena à l'étage où l'attendait une sublime suite. Spacieuse et luxueuse, elle offrait une superbe vue de la forêt gràce à une large baie vitrée. Un lit, collé au mur, s'étendait jusqu'au milieu de la pièce. Le comte ferma la porte mais demeurait à l'intérieur. Il souriait, mais ce n'était plus un sourire bienfaisant. Il était maléfique, remplit de haine et de convoitise. Rutin aperçut ses dents, des canines longues et pointues venaient de poussés à vue d'oeil. Il s'apporchait. Rutin ne pouvait bouger, paralysé par cette vue, fasciné, hypnotisé, tiraillé par des voix intérieurs.
Tout à coup, la baie vitrée vola en éclat et le chevalier apparut ainsi que Lutinia. le chevalier tenait une croix qu'il brandit devanit lui. Elle s'enflamma aussitôt sous les hurlements de douleur du comte. Puis le chevalier sortit un pieux en...

Illius

(mdr, si, l'humour est le centre de l'histoire, mais là, tout de même , c'est trop flagrant, des spaghettis...mdr)

Illius

(Perso j'adore l'histoire ? C'est qui ce Rutin lol ? ^^)

Bon, et bien la suite? Astaroth tu traines!lol

Illius

bois et l'enfonça de toutes ses forces dans le corps du vampire! Mais le serviteur, qui était un vampire lui aussi, se jeta sur le chevalier et lui arrcha le pieux, mais Rutin s'était dépêché de sortir une torche qu'il alluma et, le serviteur...

...effrayé à la vue du feu purificateur, s'échappa par la porte qu'il avait forcé pour secourir son maître, qui agonisait sur le plancher en spasmes violents. Le chevalier le poursuivit et envoya une dague en argent dans le coeur. Le vampire hurla puis tomba dans les escaliers, le visage serein, comme libéré de l'emprise du Malin.
Le chevalier revint alors que Lutinia, folle de joie, s'était jettée dans les bras de Rutin.
-Je savais que tu étais venu ici quérir de l'aide pour nous secourir. Le chevalier a tué la bête avec son épée, alors quand nous ne t'avons pas vu revenir, nous avons pensé qu'il t'était arrivé un grand malheur. Quel courage tu as eu!
-Oui, je sais, je suis comme ça!
Le chevalier leur dit alors...

Illius

qu'il devait partir car ils n'avaient pas terminer leur quête, et, sur ce, ils partirent! Le lendemain, après leur nuit dans une maison des paysans(qui leur avait proposé de dormir là), ils se remirent en route! ...

Nos 3 aventuriers repartant, en pleine forme, vers le royaume de Pierrus regarderent la carte offerte par le propriétaire de la maison ou ils avaient passé la nuit.
Sur le chemin se trouvait le village de Neneah, le chevalier leur proposa d'y faire escale car il s'agissait de son village natal.
Seulement pour y parvenir, le groupe devait passer par ...

la forêt des mille souffrances! A l'entente de ce nom, Rutin sursauta! Il y avait de quoi! On disait que cette forêt était maléfique car un monstre se terrait à l'interieur de ses bois mais le chevalier dit que ce n'est qu'une fable et qu'il n'avait jamais vu un seul monstre dans ce bois! Lutinia changea de sujet et demanda au chevalier...

...s'il avait vu un superbe documentaire sur la migration des fourmis noires d'Ossetie du Nord (sujet passionnant et émouvant-surtout le passage de la rivière et l'attaque de la ruche ennemie!). Le chevalier l'ignora et précisa tout de même à Rutin:
-Enfin, il survient quand même des évenements étranges dans cette forêt! Par exemple, quand j'étais tout petit, deux types étaient partis à la cueillette aux champignons et bien ils ne sont jamais revenu!
-Ah mais quand on connait pas les champignons! dit Lutinia, constant que son héros paniquait.
-Et il y a aussi des hurlements...mais ne me regardez pas avec ces yeux là! je vous raconte ce que j'ai entendu: des hurlements sinistres, venant de ce bois. D'ailleurs, on raconte que si vous pointez l'oreille, vous pouvez entendre ce son lugubre qui s'apporche encore, et encore, et encore...puis, ineluctablement arrive la faucheuse qui vous emmène vers les territoires inconnus de l'au-delà...Et, on dit aussi que ce cri provient de cette créature maléfique que tout le monde appelle: Corben, du nom de sa première victime. Corben est un membre de l'espèce des Trychidna Demmonius Telforum de l'ordre des Hommibus Hortaris Vetanus Tanatum, de la seconde branche des Yutiviarum Diabolum Tyranus, appelée aussi Lopus Lycanus Retractilorus (vous pouvez constater des lors les liens génétiques qui l'unissent aux vampires et aux loups-garous). En un mot, il s'agit d'un gigantesque ver de terre qui se terre dans la...et bien....dans la terre! Dès qu'une proie marche sur sa tanière, il sort de son trou et le dévore (Rutin et Lutinia avait le teint blaffard). Mais tout ça n'est que pure folklore, des inepties, croyez-moi, cette forêt était aussi sûr que...
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu...

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que le ver de terre géant surgit et esseya d'avaler Rutin, qui s'était acroché au chevalier! Mais celui-ci à eu le reflexe de sortir son épée et sauta sur l'ennemi, lui planta son épée dans le corps mais...

...alors que le vers maudit se tortillait de douleur, des centaines de petits vers (de deux mètres seulement) en sortait par la blessure. La lame du chevalier virevoltaient dans le noir et découpait ces créatures repoussantes. Rutin, quant à lui, était pétrifié de stupeur. Lutinia le protégeait à l'aide d'un bout de bois, et même si elle voulait le réveiller en le frappant avec, son amour pour le lutin n'en était que plus attisé (allez savoir pourquoi!). Mais, alors que le chevalier massacrait les petits, le gigantesque vers succomba et s'écroula sur...

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Un gobelin et oui ce petit personnage qui se trouvait là assomé surpris nos aventuriers. Le chevalier voulut le tuer de suite mais Lutinia le protegea. En effet celle-ci avait remarqué que depuis qu'ils étaient passés par le bois, L'étrange créature les suivait et Lutinia voulait en savoir la raison.

A son réveil, le gobelin était ligoté et de suite Lutinia lui demanda "Pourquoi nous suis-tu depuis notre passage dans le bois ?".
Vu sa position, celui-ci n'eut d'autre choix que de répondre, alors il dit ...

...:
- blurpj gjel dhd sdhe
Pulgiuin ghuliar ghhurp
purlahoui ghurtolim ac
ppolopu ghulimter pol
(traduction pour ceux qui n'ont pas les capacités intellectuelles pour apprendre le Gobelin traditionnel: euh...attendez que je regarde dans le dictionnaire...ah ouais? je savais pas que ça se disait comme ça! Bon hem...j'en étais où? Ah oui:
De vous suivre je n'ai cessé,
Car ma soeur je n'ai oublié,
Vous qui me l'avez enlevée,
L'heure est venue, chevalier.
(à une vache près hein! C'est pas facile de traduire! Et oui, il s'exprime en poème, c'est ma faute? C'est pas moi qui l'ai fait intervenir )
Alors, le chevalier lui répondit:...

Illius