Histoire sans fin

De ce pauvre gobelin qui agonisait de puis le choc.
Le chevalier ayant marre de l'entendre geindre abregea ses douleurs en l'écrasant avec son pied.

Alors le chevalier et les lutins continuèrent leur discution.

...

-t'es sur que ton ordre va disparître? moi je pense qu'elle va restait là encore quelque millions d'années!
-ouais t'as peut-être raison!
et il...

...il partit en sanglot.
Les deux lutins (on va les appeler...Rutin-le premier- et Torahtsa-l'agriculteur) se regardèrent fixement.
-Qu'y at-il de triste, demandèrent-ils à l'unisson.
-Rien, j'ai seulement...honte de moi...Et il laissa couler ses larmes de nouveau.
Rutin, surpris de cette réponse de la part d'un chevalier, le prit dans ses bras et le serra très fort.
Angoissé, le chevalier l'attrapa par les cheveux, puis par la petite barbiche qui ornait son menton avant de lui expédier un pussant coup de poing dans la gorge et de lui envoyer un coup de genoux dans le ventre avant de le frapper au dos.
A son réveil, trois jours plus tard, Rutin éait assis à côté de son fidèle ami Torahtsa aisin que le chevalier qui lui dit:

Illius

Le chevalier lui dit "Si j'ai pleuré lors de notre précédente discution, c'est parce qu'au fait, je suis un ancien chevalier.
J'ai du quitter L'Ordre car j'étais éperdument amoureux d'une gobeline, je lui ai demandé si elle voulait être ma copine mais celle-ci a refusé... J'ai alors piqué une crise d'une violence rarement égalée et je lui ai fait la prise du coq. Celle dont j'étais amoureux en est morte et depuis je déteste tous les gobelins. C'est pour ca que j'ai écrasé celui qui était venu tout à l'heure.

Les 2 lutins en furent bouche-bée. Après quelques secondes de silence, Rutin...

Rutin... lui proposa de les accompagner jusqu'au Royaume de Pierrus, peut-être pourra-t-il même regagner son honneur! Ils reprirent la route et s'engagèrent sur le chemin qui les emmena au Lac de l'Ombre...

Illius

...Lac de l'Ombre pour combattre le terrible démon des épinards et ce fut un combat acharné pour la victoire! Mais ce fut...

??? Le terrible démon des Epinards???? Euh, sans vouloir être méchant, je pense qu'on va ignorer cette partie (dans ton intérêt pck là...lol). Ne t'en fais pas, la suite te permettra de te rattraper (et n'oublie pas que c'est de Turin qu'on se moque là!)

Illius

Le fait de devoir ignorer ton histoire du démon épinard est primordial pour l'avenir de notre monde.

mdr mais bon, je ne peux pas continuer donc allez-y!

Illius

oh si on peut plus rigoler un peu, bon on remplace par le démon du feu si vous préfèrait!

mdr, non le problème est surtout l'idée de la phrase, car après tout, pk vont-ils attaquer le démon des épinards? Faut qu'il y ait un lien logique. je ne sais pas, moi, il s voulaient demander leur chemin aux villageois qui habitent sur le bord de l'eau mais ceux-ci sont attaqué par une créature féroce (le démon des épinards si tu veux) et pif paf pouf (toujours en se moquant de Turin bien sûr) ils le dégomment (faut mettre des détails!).

Illius

Donc notre groupe, se dirigeant vers le royaume de roi Pierrus, dut faire une escale au lac de l'ombre dans le village du lac de l'ombre. (Les villageois n'ont rien trouvé de mieux)
Rutin, l'agriculteur et le chevalier de l'ordre profiterent de leur passage dans ce village pour se reposer et demander quelques informations supplémentaires sur le trajet restant.

Lors d'une discution avec un villageois, Une terrible explosion se fit attendre et en se retournant, notre groupe d'aventuriers put apercevoir...

...apercevoir de la fumée au loin.
-De quoi s'agit-il, demanda le chevalier
Un des villageois leur expliqua que la fumée s'élevait à partir du chateau hanté de Bemphor, fondé par le petit fils D'Artaryus, cousin par alliance du second mari d'Astyanyx, nièce d'Ertellion, lui-même fils d'Hartotus, frère D'ellequor, le meilleur ami du premier copain de chambre de Pierrus. Dans cet antre vit un monstre redoutable: le Démon Marsten. Une créature diabolique issue tout droit des desseins du Malin pour semer haine et chaos sur la terre. Forgé dans le grand brasier, Marsten vouait un culte au feu en brûlant des êtres capturés dans la forêt ou sur le lac grâce à son sbire: le serpent géant du lac de l'ombre. Il arrivait que Marsten experimente de nouvelle potion ténébreuse pour anéantir le village. Courageux, le chevalier promit de débarasser la terre de ce fléau tandis que Rutin préparait déjà ses affaires pour prendre congé.
Tout à coup, un rire satanique ...

Illius

...Glaça le sang de tous les villageois. Ceux-ci courerent s'enfermer chez eux et celui qui parlait à nos "héros" leur expliqua qu'à chaque fois que le démon Marsten rigole, moins de une heure après, il attaque le village chevauchant le terrible serpent géant.
Dès que le villageois eut fini sa phrase, il abandonna nos trois compères pour courrir s'abriter chez lui.

Rutin, l'agriculteur et le chevalier étaient alors les seuls à être toujours dehors. Ils comprirent qu'ils étaient les uniques personnes à pouvoir sauver ce village et qu'ils avaient une heure pour se préparer avant la bataille.

...

Le chevalier et Rutin élaborèrent un plan assez simple. Ils attrapèrent l'agriculteur, le frappèrent deux ou trois fois, de sorte qu'il soit inconscient et le placèrent, attaché à un piquet, au centre de la place, devant l'Eglise qui se dressait fièrement dans la voûte céleste. Rutin se cacha (oui il ne se préparait pas, il se cachait) avec un arc à flêches dans les mains et un petit feu pour incendier ses flêches. Le chevalier, lui, attendait patiemment derrière des barils de liquide noir (qui dit-on provenait du gouffre de la terre et qui s'enflammait facilement: la Petra-Oleum). Tout à coup, une créature monstrueuse sur laquelle trônait un être aussi abject que les monstres purullants qui pullullent dans les fonds abyssaux de votre esprit lors d'un cauchemar, apparut au loin. Elle riait mais, ce n'était pas de la joie. c'était de la folie. Quand elle vit le pauvre agriculteur qui s'éveillait tout doucement, elle se jetta sur lui et le...

Illius

dévora! C'est à ce moment que Rutin décocha une de ses flèches!(enflamées, bien sur) Elle atteignit le monstre mais ne le tua pas, il arracha la flèche et la brisa d'une main. La blessure que la flèche lui aait faites se referma et c'est alors que le chevalier compris que...

...qu'il ne suffisait pas de la toucher à l'aide de flèche mais de l'enflammer. Il déversa le liquide noirâtre qui s'écoula jusqu'au corps du monstre qui n'y prit pas garde. Rutin...

Illius

P.S. je présume que tu parlais de Marsten car un serpent n'a pas de main (lol)

...arma une 2e flèche enflamée et tira! raté! il encocha vite une 3e flèche mais...

P.S: oui je parlais de lui!

...Ils leur seraient impossible de combattre le monstre de cette manière... Le chevalier se souvenant que le liquide qui se trovait dans les barrils était tres enflammable.
Alors il utilisa toute sa force pour soulever un de ces baril et le lanca sur le serpent. Il cria alors "Rutin, décoche une fleche enflammée sur le liquide qui se répand sur le serpent"

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, Rutin tira une flèche et celle-ci atteint son but. Le liquide s'emflamma comme prévu et Marsten ainsi que son serpent brulerent dans d'atroces souffrances en poussant des cris de douleur.

...

Ainsi le village fut sauvé de ce fléau! mais il n'en avais pas terminer il devait aller...

Stop aux floodeurs !

dsl pas fais exprés, j'essayais un truc et j'ai oublié de supprimer le mail!

Je supprime le message.

ok merci!

Encore bien qu'on ne devait plus flooder ici ...
J'édite pour ne pas flooder.

Mais l'histoire n'était pas finie, nos 2 aventuriers (vu qu'il y en a un qui est mort paix a son ame) devaient encore aller dans le chateau de Bemphor pour sauver les villageois que Marsten n'avait pas encore tué.

Arrivé sur place ils durent passer par un labyrinthe géant hanté par des créatures maléfiques qu'ils surnomèrent les "panoux" car ceux-ci ne cessaient d'hurler un rugissement sonore qui pouvait se traduire par "panoux".
Le chevalier les dégomma tous sans exception à coup de hache, le sang giclait, les membres voltigeaient et les cris fusaient "panoux, panoux, PANOUX".

Fier de tous les avoir massacrer mais n'ayant trouvé aucun rescapé, nos héros retournèrent au village où ...